Ces hébergements sont mobilisés pour des familles ayant connu des situations de violence conjugale, dont la mise à l’abri n’est pas de mise mais dont le travail sur la violence doit être encore réalisé.
Ces logements ne sont pas en colocation et n’ont pas une obligation de secret d’adresse.
Ils permettent de continuer un travail sur la violence, associé à une insertion par le logement.